Pour mieux connaître BENOCLE, quoi de mieux qu’une conversation avec l’un de ses créateurs ? Aujourd’hui, rendez-vous avec Alexandre Frontère, chargé du développement de l’enseigne.
Parlez-nous de l’histoire de BENOCLE et des particularités de l’enseigne.
Alexandre Frontère – BENOCLE est née d’une aventure : nous avons choisi de quitter une enseigne nationale pour créer quelque chose qui correspondait à notre envie d’exercer le métier d’opticien, en nous occupant mieux de nos clients. L’idée n’était pas de proposer une offre commerciale qui s’adresse à tout le monde, mais de traiter chaque client individuellement, avec des solutions « premium » en matière de qualité d’équipement. Pour mettre ce principe en pratique, nous avons rencontré une agence de communication qui nous a aidés à trouver le nom de l’enseigne, et un agenceur pour créer le cahier des charges des magasins : des univers différents (créateurs, haut de gamme), mais aussi un espace bar où l’on sert des cafés.
Comment appliquez-vous cette prise en charge individuelle des clients ?
Alexandre Frontère – Notre objectif est de redonner à l’opticien le sens de son métier, qui est la prise en charge de la santé visuelle. Nous prenons le temps d’écouter nos clients, avec un parcours « médical » qui permet d’obtenir une véritable analyse des besoins visuels. Nous aménageons aussi nos magasins en ce sens : pour adapter les lunettes à la vision nocturne ou à la vision des couleurs par exemple, à l’aide d’un équipement spécial pour les daltoniens.
Comment accompagnez-vous vos clients à chaque âge ?
Alexandre Frontère – Nous mettons en place, petit à petit, des spécialisations dans nos magasins. Certains ont obtenu le label Optikid, qui permet à un opticien d’être référent dans la prise en charge psychologique des enfants et de leurs parents. Cela implique d’être très vigilant dans l’équipement préconisé, selon les spécificités de la morphologie des plus jeunes, et si l’on veut que l’enfant porte ses lunettes.
Cela concerne aussi les verres progressifs, qui souffrent d’une image assez négative tout comme la presbytie. Aujourd’hui, grâce à Essilor, nous proposons des solutions très perfectionnées à des prix raisonnables. Cela va dans le sens de la prise en charge individualisée.
Justement, pourquoi avoir choisi les verres Essilor ?
Alexandre Frontère – C’est une marque leader dans son domaine, qui rassure, et qui est aussi connue des ophtalmologistes. C’est un gage de qualité !
Parlez-nous de votre implantation et des actualités du réseau BENOCLE.
Alexandre Frontère – Nous avons commencé en Dordogne, puis nous nous sommes implantés en Corrèze, en Gironde, et aussi en Charente. Nous avons aussi un adhérent avec 5 magasins dans le centre de la France. Et puis d’autres opportunités se présentent, comme à Aix-les-Bains récemment. Cela commence à se savoir auprès des opticiens : nous sommes sollicités par des indépendants qui ont envie de nous rejoindre. Sans trop en dire, de prochaines ouvertures sont à venir dans l’Est et en Bretagne !
Que diriez-vous à un opticien qui aurait envie de se lancer avec vous ?
Alexandre Frontère – S’il trouve que nos valeurs lui correspondent et qu’il souhaite rejoindre une communauté, avec une communication et un agencement, en plus de sa propre liberté d’opticien, nous sommes la seule enseigne à proposer ça en France !